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. illustration : source |
. Jean-Sebastien BACH,
concerto pour piano N°5 en Fa mineur, BWV 1056, Largo Murray Perahia Commentaires
L'immense immensité du monde immense.
Commentaire n°1 posté par Gilbert Pinna le 24/10/2010 à 11h13
Mon regard est perdu. Éperdument.
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 24/10/2010 à 22h47
Merci
Commentaire n°3 posté par NMC le 26/10/2010 à 00h42
:-)
Commentaire n°4 posté par espace-holbein le 26/10/2010 à 11h18
Heu, on est censé écouter avec ses yeux ???? (ou bien ici on a le même phénomène que dans les picines des centrales nucléaires, la vitesse du son dans l'image est supérieure à la vitesse du son dans l'air, ce qui expliquerait qu'on n'entend rien. Et pour les piscines des centrales nucléaires, c'est la vitesse de la lumière évidemment... association d'idées foireuses)
Commentaire n°5 posté par Val le 02/11/2010 à 21h37
C'est beau "écouter avec les yeux": t'es un(e) poéte, je te dis. Bon,peut-être que ton ordi, il marche pas bien ou tas pas téléchargé (ou remis à jour) le petit programme qui permet d'écouter Bach avec les oreilles. Je te jure ça marche et c'est beau,vachement beau. Tu mets tes yeux dans les étoiles qui défilent de gauche à droite, régulièrement, sans interruption, et t'écoutes le largo. Ca peut te rendre heureuse. Moi, en tout cas oui. Bach : toujours, éperdument. Et pas besoin de piscines de centrales nucléaires (ça fout plutôt les jetons).
Commentaire n°6 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h12
J'ai réussi... à sentir le goût du lait de mon biberon. J'ai été élevée à Bach et à Mozart, ce qui ne m'a pas empêché de prendre un virage à 180° le jour où Tuxedomoon est apparu.
Mais Bach émerveille toujours.
Commentaire n°7 posté par Val le 03/11/2010 à 22h02
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